
Contrairement à certains auteurs dont je vous parle dans mes chroniques, Chamil Idiatoulline est bien vivant.
Contrairement à certains auteurs dont je vous parle dans mes chroniques, Chamil Idiatoulline est bien vivant.
Certains parmi vous se souviennent qu’en octobre dernier j’ai organisé, à Genève, un concert avec la participation de
À l’école soviétique comme à l’école russe d’aujourd’hui, l’œuvre de Mikhaïl Prichvine (1873-1954), celui qu’on appelle le fils tardif de l’Âge d’argent de la littérature russe, est enseignée en 5
Il y quelques jours j’ai publié, dans Nasha Gazeta, un article concernant l’attaque des hauts responsables ukrainiens contre le Comité international de la Croix-Rouge.
La publication, en français et en russe, de mon texte « Dissidents, déserteurs, profiteurs » a provoqué une vive discussion sur le site du Temps (et je vous en remercie) et un silence radio dans Nasha Gazeta (que j’ai préféré à la crucifixion à laquelle je m’attendais).
Que va faire la Suisse avec les Russes qui fuient leur pays pour échapper à la guerre déclenchée par ce dernier et qui risquent de demander asile sur le territoire helvétique ? J’ai posé cette question à Mme Karin Keller-Sutter, notre ministre de la Justice, lors du Forum des 100 organisé par Le Temps le 11 octobre.
Au moment de toutes les ruptures, j’organise un événement qui a pour but de soutenir des jeunes musiciens déplacés en Suisse par la guerre. Son titre est « Musique. Tout simplement ».
Cette image avec un slogan bouleversant est apparue mercredi, peu après l’annonce par le président Poutine d’une « mobilisation p
Cette question sacrilège, je l’ai posée à Korine Amacher, professeure d’histoire russe et soviétique à l’Université de Genève, l’une des trois rédacteurs de « Histoire partagée, mémoires divisées.
Il y a quelques semaines, en vacances dans l’Amérique profonde, je reçois un message m’annonçant, que, à ma plus grande surprise, je me trouve cette année parmi ceux qui, selon la rédaction du Temps, ont « se
C’est ainsi qu’il restera dans ma mémoire : jeune et souriant. Oui, jeune, car au moment d’être élu Secrétaire général du Parti communiste de l’Union soviétique, le 11 mars 1985, il n’avait que 54 ans. Et oui, souriant, chose rare dans mon pays. Surtout parmi ceux qui se trouvent sur la tribune du mausolée de Lénine.
Le roman Le Débutant de Sergueï Lebedev, écrivain russe établi en Allemagne, vient de paraître en français aux Éditions Noir sur Blanc.
Il y a quelques temps un ami genevois – un Suisse de souche et un grand connaisseur de l’histoire russe – m’avait offert un livre.
Il faut partir en vacances.
Depuis mercredi dernier le public suisse est invité à visionner le film du cinéaste canadien Daniel Roher consacré au plus célèbre opposant russe vivant et décrit comme « un documen
Il y a quelques mois encore personne ne croyait que la guerre entre la Russie et l’Ukraine était possible. Bien que les bruits courraient.
J’ai envie d’ajouter à ce titre « aller simple ».
Vendredi dernier j’ai assisté au débat du Club suisse de la presse qui s’annonçait très intéressant. Voici le résumé qui accompagnait l’invitation :
C’est le titre de la chanson d’Oldelaf, adorée par mes enfants il y a quelques années.
L’un des plus grands artistes et activistes contemporains a passé à peine 24 heures en Suisse, mais j’ai eu la chance d’assister à la table ronde avec sa participation organisée par le